C’est particulièrement vrai dans les semaines suivant la pollinisation, au début du remplissage des grains. On comprendra donc que si nos températures sont bonnes au printemps, tout change à ce stade au mois de juin et juillet. En Nouvelle-Zélande, l’océan qui l’entoure réussit à tempérer suffisamment les écarts de température attendus à cette latitude. En Europe, c’est le Gulf Stream qui permet aux hivers de rester assez chaud pour y faire la production de céréales plutôt qu’en été, mais aussi la proximité de l’eau qui peut le permettre en été selon le pays.
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